Se Souvenir Des Belles Choses

Lisez, regardez, contemplez, souriez, partagez...
Et souvenez vous...

... des belles choses!

26.1.08

Perspective...


J'étais en manque de trains. J'étais en manque de Lui. J'étais en manque d'Elle.
Billets réservés : dans quelques jours, je retrouve ce lieu unique qu'est la Flatière.

Joie !

24.1.08

Petite Madeleine Nantaise...

Distribution de BN à la fraise en intercours.
Côme en prend un, le porte à son nez et inspire.
Intriguée, je fais de même et m'exclame :
"Oh ! Ca sent le goûter qu'on prenait avec les cousins sur la plage en Bretagne !"
Et Côme de répondre :
"Oui, et toujours, à un moment, ton BN était posé sur ta serviette ou sur le sable, et quand tu prenais la bouchée suivante, ton BN craquait sous la dent de quelques grains de sable voyageurs..."


Jolie madeleine partagée, non ?

Alien, moi ?

En septembre dernier, David Boulet m'avait fait un plaisir immense en me disant :
"T'es vraiment pas nette, comme nana".

Il y a peu, Fabien-Joli m'avait complimenté en me qualifiant de :
"Curieuse".

Aujourd'hui, P'tit-Côme m'a fait l'honneur immense de me dire :
"Tu es bien étrange, comme fille".

Merci !!!

22.1.08

Page Blanche...?

"On est souvent trompé en amour, souvent blessé et souvent malheureux ; mais on aime, et quand on est au bord de sa tombe, on se retourne pour regarder en arrière, et on se dit : J'ai souffert souvent, je me suis trompé quelquefois, mais j'ai aimé. C'est moi qui ai vécu et non pas un être factice créé par mon orgueil et mon ennui.".
Alfred de Musset, On ne badine pas avec l'amour. Acte II, Scène 5.

Bonne route.
Et Merci.

17.1.08

Silence

J'en aurais pourtant plein, des belles choses, à déposer ici, en ce moment.
Est-ce par pudeur, par timidité, est-ce par souhait de neutralité temporaire que je ne les dépose pas ici ?

Une farandole de belles choses, de jolis mots, de fabuleux moments, de conversations passionnantes, de complicité naissante...
Ces mains, ces yeux, cette voix, inoubliables...

Patience ?

15.1.08

Prépa-re toi à souffrir ?

Quand, à travers le mur, je t'entends soupirer, mon estomac picote.

Quand, à travers le mur, j'entends un objet lancé à terre, mon estomac se reserre.

Quand, passant devant ta porte, je te vois la tête dans les mains, mon estomac se noue.

Quand, longtemps après que la lumière ait disparu de sous ta porte, j'entends ton ronflement régulier, mon estomac est apaisé, temporairement...



Mais quel est l'imbécile qui a inventé les classes prépa ?


Courage Frangin, on va trouver un moyen.