[Fin de la Paranoïa]

Voilà une belle chose que je n'oublierai jamais.
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Plus de quatre ans dans cette aventure extra-ordinaire qu'a été Parano.be.
Plus de quatre ans de rencontres, de discussions, d'échanges, de rires, d'émotions, de grand n'importe quoi, d'investissement, de couleurs de l'arc-en-ciel, de soirées, de pique-nique non-stop au champ de mars, de barbec' belges, de fiestas, de concerts, de découvertes, d'ouverture d'esprit, de voyages, d'amitiés, d'amours, d'écriture, de projets, de débats, d'animation, d'amusements...

KOT, LIL, PNM, TAO, ETC.
Mes cinq maisons successives, avec plus ou moins d'investissement, et pour des durées plus ou moins longues... Merci à vous.

Je n'oublierai jamais ces quatre années. Je n'oublierai jamais la richesse de tout ce que j'ai appris au sein de cette cyber-communauté. Je n'oublierai jamais les moments fabuleux avec tous ces gens. Je n'oublierai jamais les virées en Belgique ou à Lille, les voyages en Auvergne ou à Bayonne...
Mais surtout, je n'oublierai jamais la façon dont ce site et tout ces gens m'ont fait grandir, m'ont ouverte à tant de choses loin de mon monde, m'ont emmenée hors des sentiers battus, m'ont ouverte à la VIE, m'ont permis de me reconstruire dans cette nouvelle vie qui commençait (et m'ont même aidée à me décider à avoir une nouvelle vie...).
Une grande aventure humaine.

Vient un moment où il faut prendre du recul. Il me restait l'addiction mais plus le plaisir. Alors à l'heure où tout se chamboule et où l'on s'interroge... Il faut savoir tirer sa révérence.
Et avancer dans sa vie réelle, physique, humaine. Fin du virtuel chronophage.


Ciao Parano, Ciao PNM, merci pour tout.
Un vrai MERCI, grand et beau.

25 mars 2004 - 26 mai 2008
Ci-gît Eglantine-4290,
qui fut tout et qui ne fut rien.

Des débuts prometteurs ?

Des projets, des projets, toujours des projets !
Je ne suis pas encore diplômée (encore un an, fichtre !), que déjà diverses opportunités professionnelles et diverses participations à de beaux projets me sont proposées...
Que dire, sinon... "Je dois d'abord finir mon mémoire"... (sic).

Heureusement que je l'aime, ce satané mémoire.
(Et je ne refuse pas ces propositions pour autant, hein.
Je les étale juste un peu dans le temps)